Pointé du doigt par la direction du club de la Banlieue de Conakry (Santoba fc), de nos pas avoir respecté l’accord de prêt dans le dossier de l’attaquant international guinéen Yakhouba Gnagna Barry, le Horoya AC de Matam revient sur les détails du prêt.
Le club de Matam via d’apporter quelques précisions sur ce dossier via un communiqué pour mettre tout au clair.
Voici ce communiqué :
Sur la base d’une convention de prêt tripartite d’une année (2020-2021) entre le Santoba FC, le Horoya AC et le joueur Yakhouba BARRY, convention signée le 18 mai 2020, des obligations concernant chacune des parties ont été définies et acceptées de bonne foi par les intéressés. Dans ce cadre, le Horoya AC a honoré
tous ses engagements à l’égard du joueur, à savoir :
– Etablir un document légal de voyage permettant au joueur d’exercer pleinement sa profession ;
– Lui accorder un salaire décent bonifié par l’octroi d’une prime à la signature ;
– Des avantages en nature ;
– Réaliser une prise en charge médicale ;
– Le placer dans des conditions de valorisation sur le plan sportif.
En outre, il revenait au Santoba FC :
– D’obéir pleinement à la clause préférentielle, laquelle stipule qu’en cas d’offre ou opportunité de transfert futur de quelque nature que ce soit, le club doit céder le joueur Yakhouba BARRY en priorité au Horoya AC de Conakry.
Nous avons été désagréablement surpris de voir sur les réseaux sociaux, des informations inappropriées allant à l’encontre des principes de ladite convention.
D’après nos informations, Yakhouba BARRY n’est plus la propriété de Santoba FC, mais appartient à une autre structure sportive. Dans les jours à venir, cette situation sera amplement clarifiée par l’exhibition de documents légaux prouvant à cet aspect des faits.
Le Horoya AC tient à se montrer respectueux des règlements et principes qui régissent les mouvements de transfert des joueurs.
Une sortie intelligente de la part du club de Matam qui après celle du santoba, vient donner quelques précisions dans ce dossier qui fait couler beaucoup d’encre en guinée.