L’artiste urbain Ans-T Crazy depuis plus de 72 heures, fait l’objet d’accusation grave. Il s’agit, notamment d’un cas présumé de viol sur mineure de 15 ans, suivi d’avortement et de placement d’un implant.
De passage ce jeudi 12 janvier, chez nos confrères de la radio Espace FM, le médecin légiste Pr Hassan Bah a levé un coin du voile sur le rapport médico-légal de la victime, qu’elle avait reçu sur la réquisition de la police de Yimbayah, le mercredi 28 décembre dernier.
Selon le chef service de la médecine légale au CHU Ignace Deen, cette dernière avait eu des relations sex****** depuis un bon moment, avant de reconnaître qu’il “n’y a pas de lésion au niveau du col de l’utérus”. Mais, argumente-t-il : « ça pourrait être probablement l’utilisation des médicaments qui, sont bien connus aujourd’hui que certains utilisent pour l’avortement. »
Et après avoir confirmé la défloraison hormonale en lien avec un avortement récent, M. Bah avance en ces termes : « Nous on a donné les éléments en rapport avec la pénétration sexuelle. Mais les lésions qu’on a constatées sont constitutives d’un viol… », a-t-il conclu, tout en indiquant qu’il ne saurait affirmer qu’il y a eu cas de viol et que c’est au juge de le faire.
Affaire à suivre…
G.T pour guineefunshow.com