La toile s’enflamme ! Une jeune dame noire sous l’anonymat a fait un grand déballage sur son vécu et celui d’autres filles à Dubaï, aux Emirats Arabes Unis. Elle même, victime de maltraitance de la part de ceux-ci, qui lui ont fait subir d’atroces pratiques, juste pour satisfaire leur sale besogne.
Selon les différentes révélations troublantes recueillies de part et d’autre et relayées par de multiples canaux de communication, il s’agit des hommes pleins aux as qui entrent en contact avec des filles influentes via les réseaux sociaux, avec lesquelles ils signent un contrat (voyage en classe affaire, hôtel de luxe, shopping…), afin de passer un weekend avec eux, tout en les proposant une somme colossale avoisinant de 15.000 à 40.000 $. Sans y penser aux conséquences, elles se jettent dans la gueule du loup.
En effet, ces femmes sont appelées de ce côté “Porta Potty“, c’est-à-dire “toilettes publiques“, une façon de les designer et traiter comme des objets en lieu et place des humains. Dans des vidéos parvenues à notre rédaction, l’on aperçoit une jeune fille s’envoyer en l’air avec un chien, et de l’autre côté, une autre couchée au sol, se voit chier dans la bouche.
Dans son regret, une jeune dame (rescapée) d’origine Ghanéenne livre un témoignage de ses mésaventures :
«… J’ai réalisé que je devais le dire quand j’ai vu certaines personnes exprimer leur point de vue sur d’autres plateformes.
Je fais aussi partie des femmes qui ont été sexuellement abusées à Dubaï. J’ai rencontré une dame sur Facebook qui voyage beaucoup là-bas parce que j’ai vu des photos d’elle sur le dessert et tout ça, quand nous avons commencé à nous familiariser avec les commentaires sur Facebook, je l’ai reçue et nous sommes devenus amis à partir de là.
Elle m’a dit plus tard comment elle gagnait de l’argent en allant à Dubaï et elle couchait avec une personne qui gagnait de l’argent et achetait des vêtements et des parfums pour venir les vendre, mais je lui ai dit qu’elle pouvait m’y emmener quand elle y allait. Je lui ai dit que je n’avais pas d’argent mais elle m’a dit qu’elle paierait pour moi et je la rembourserai à notre retour. Nous sommes devenus si proches maintenant qu’elle m’a fait confiance.
Hmmm Tatie Ama le jour même où nous sommes allés nous ne sommes pas allés à l’hôtel comme elle l’a dit, nous sommes allés directement dans une grande maison qui appartenait à un homme arabe. Il était ravi de me voir, alors je savais que c’était l’homme avec qui elle était sur le point de me relier, cette nuit-là, elle est partie en boîte avec l’ ami de l’homme. Il m’a attaché au lit de manière romantique et m’a demandé de lui sucer la b…, ce que j’ai fait mais il ne m’a pas laissé m’arrêter et mes mâchoires sortaient, il a commencé à me battre et à me dire que j’allais lui donner une bouche Action pendant une heure donc je ferais mieux de coopérer car il allait me payer 18 000 dollars.
J’ai souffert, mais j’ai souffert, la minute d’après il s’est assis sur mon visage je pensais que j’allais sentir son anus (pour ainsi dire) mais il m’a demandé de le lécher parce que c’est la seule façon qu’il peut jouir. J’hésitais jusqu’à ce qu’il me menace avec un serpent vivant dans la pièce. J’avais tellement de regrets mais j’étais déjà là, je l’ai léché jusqu’à ce que les excréments commencent à sortir et cet homme m’a demandé de les manger.
J’ai vraiment souffert mon Dieu, j’ai encore des cicatrices sur mon corps à cause des fouets que j’ai eus non seulement en mangeant tout. Je ne le fais pas bien et cela a mis fin à ma vie. Il est ensuite parti dans sa chambre et a commencé à parler à son ami au téléphone (je savais que c’était à propos de moi mais je ne comprenais pas la langue) Tante Ama je n’ai pas fermé les yeux la nuit.
Le lendemain, mon amie m’a insulté et m’a dit à quel point j’avais réservé un vol pour que je revienne au Ghana et m’a donné 5700 dollars.
Je n’ai pas survécu à ça et ça fait presque un an. J’envisage de mettre fin à mes jours. Je ne sais pas quoi faire. Je me suis présenté à la police ici pour arrêter la dame mais ils n’arrêtaient pas de me secouer, l’un d’eux m’a dit que c’était même de ma faute », a-t-elle confié.
D’autres, internautes, ont cependant attiré notre attention sur ce phénomène qui fait jaser sur tous les toits, qui selon eux, cela ne date pas d’aujourd’hui.
Affaire à suivre…