La toile s’enflamme ! Suite à l’arrestation hier mardi, de la célèbre influenceuse malienne, Aïssata Coulibaly Aka Bijou Siraba, après un direct sur le réseau social Tik Tok, au cours duquel, elle a proféré des injures à l’encontre d’un internaute.
Placée sous mandat de dépôt, l’ex-concubin du prince de la Kora, Sidiki Diabaté, ne cesse de recevoir des soutiens de la part des artistes, influenceurs, internautes. C’est le cas du jeune chanteur mannequin guinéen, Baba Jamal.
En effet, l’artiste du label “Tamala Prod (Toronto)” pense qu’il y avait une autre manière de la punir, à part la mettre sous les verrous, vu qu’elle a juste retourné l’ascenseur envers à son détracteur.
Lisez !
« Alors ce que j’ai pas compris une personne fait son direct sur TikTok et quelqu’un l’insulte en commentaire et elle renvoie l’injure oralement. Ensuite les gens capturent cette partie de son direct et partagent sur les réseaux. Là j’apprends qu’ils l’ont arrêté que elle a insulté sur les réseaux sociaux…. Donc ceux qui l’ont insulté en commentaire pendant son direct eux ils n’ont rien fait de mal ??? elle s’est défendu par émotion de colère et elle a renvoyé l’ascenseur… déjà les pages qui ont partagé ses vidéos ne sont pas ses pages à elle…Dans le monde entier je n’ai vu aucune lois qui dit qu’elle mérite d’être arrêté pour ça !!! L’injure publique n’est pas à titre égale d’un vole ou un meurtre ahh non ce n’est pas le même degré donc une amende aurait été acceptable mais L’emprisonnement pour une telle cause c’est trop !!!!!non mais vraiment l’Afrique on va où et personne ne lève pour se manifester …. Je comprends que beaucoup la déteste peut-être ok mais réfléchissez longuement est ce qu’elle mérite d’être arrêté ??? Bijou siraba courage », a écrit l’interprète du tube “Mon destin” ce mercredi, via sa page Facebook.
Pour rappel, Bijou Siraba a été mise aux arrêts sur la loi portant sur la cybercriminalité, par les agents de police du commissariat du 5ème arrondissement de Bamako, sur instruction du Parquet du tribunal de la Commune IV.